Forte présence de Bardèche et Brasillach dans le n°71 de Réfléchir & Agir (été 2021) :
- p.4, entretien avec Jérôme Bourbon : Bardèche mentionné parmi les "personnage[s] célèbre[s] aujourd'hui mort[s] [que vous auriez] aimé rencontrer (avec, "comme écrivains", Bernanos et Céline) et parmi "les écrivains que vous aimez" (avec Bernanos, Céline et Drumont) ;
- p.6, entretien avec le site Jeune Nation : "Nous nous inscrivons dans une longue tradition du nationalisme français issu de la congre-révolution, nourrie de la pensée des grands maîtres que sont Drumont, Maurras et Barrès, ainsi que du fascisme français dont les grandes figures sont Brasillach, Bucard et Bardèche."
- p.40 : grande photo de Maurice Bardèche (et une d'un exemplaire de sa revue Défense de l'Occident) au sein d'un article sur le Mouvement social européen
Expression utilisée par Jean Eudes dans son intervention du 1er novembre 2021 sur Internet "Chantage sexuel, islamisme, antifas, élus locaux, dissolution ; l’Alvarium répond à Darmanin" (27'10).
Grande photo de Maurice Bardèche, en compagnie de Pierre-Antoine Cousteau, en page 41 du dernier numéro du magazine Réfléchir & Agir (n°63, automne 2019), pour illustrer un article intitulé "Quand l'extrême-droite était sioniste". Ce que ne fut assurément jamais Bardèche :
- "tous ceux qui croient qu'une des plus grandes hypothèques qui pèsent sur le monde occidental est qu'il est un monde à direction juive, où la puisse juive ne tolère sous des noms divers que des exécutants qui lui soient intégralement dévoués, ne peuvent considérer Israël que comme une base territorial qui rend des services puissants à l'internationale juive répandue dans le monde entier.
- "L'État d'Israël a besoin pour sa sécurité de devenir maître de tout le Proche-Orient et d'étendre son protectorat sur l'ensemble des États arabes sans exception, après les avoir désarmés et réduits à l'impuissance, ou bien il est condamné à disparaître d'une façon ou d'une autre, dans des circonstances dramatiques."
Robert Brasillach est pour sa part évoqué dans un portrait de François Brigneau, en pages 12 à 14 du même numéro, d'après la biographie publiée par Anne Le Pape chez Pardès.
Alain Soral associe Léon Degrelle et Maurice Bardèche, et dit son respect pour ces fascistes, aux environs de la quarantième minute dans la quatorzième fournée de "Soral répond... sur ERFM !", mise en ligne sur E&R le 7 août 2019.
"ça commence avec Cromwel". Quoi donc (selon Maurice Bardèche, cité par Jean-Gilles Malliarakis) ? C'est à découvrir dans "Un goût certain pour la tyrannie", article publié dans L'Incorrect (n°15, décembre 2018, p.17).
Dans son hommage à Robert Faurisson du 25 octobre 2018, Alain Soral évoque Maurice Bardèche en ces termes :
« [...] cette chose était tout sauf un point de détail puisqu'elle était le Golgotha, elle était le coeur atomique sur lequel tourne tout le système de domination occidental et tout l'Empire mondialiste, comme l'avait compris et déjà théorisé Maurice Bardèche dans son Nuremberg [dont] je rappelle [que] je suis moi et moi seul l'éditeur et le ré-éditeur. Voilà. »
Un long extrait des Souvenirs de Maurice Bardèche a été reproduit le 24 août dernier sur le site "Jeune Nation", à propos des Miliciens du Grand Bornand : www.jeune-nation.com/actualite/jdj/honneur-aux-miliciens-du-grand-bornand.html