3 février 2012
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« De la vanne acérée pour tous. La gauche, la droite, bien sûr, mais aussi les jeunes, les vieux, les juifs, les Noirs, les journalistes, les pauvres, les riches, etc. Pour tous? Oui, même pour Astérix, sacré "Brasillach de la BD", parce que, sinon, "comment expliquer qu’il n’ait pas fait profiter tout le pays de sa potion magique ?". En jeans et veston, allure de jeune premier, Proust pratique la désinvolture, le trait qui tue et une solide érudition. Durant la soirée, on croise Robert Brasillach, donc, écrivain collabo, mais aussi Charles Martel, Talleyrand, et le philosophe Gilles Deleuze… » (Le Temps, 28 janvier 2012, « Gaspard Proust, le grand méchant doux »).
Publié par ARB
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