Compte rendu audio de La Conquérante, par Jonathan Sturel, dans une émission de Radio Athéna dirigée par Adrien Abauzit le 28 septembre 2020.
Compte rendu audio de La Conquérante, par Jonathan Sturel, dans une émission de Radio Athéna dirigée par Adrien Abauzit le 28 septembre 2020.
Est-ce pour justifier son titre d'historien ? Dans une page "Idées" (anciennement "Débats", sauf erreur, les deux dénominations n'étant guère moins abusives l'une que l'autre), parue dans Le Monde du 3 octobre 2019, où deux tribunes fustigent l'affreux et nauséabond Éric Zemmour, celle de Tal Bruttman convoque Joseph de Maistre, Pierre Drieu la Rochelle et Charles Maurras (tous trois cités par Zemmour dans son discours du 28 septembre à la Convention de la Droite organisée par le magazine L'Incorrect, entre autres), mais aussi Augustin Barruel, les "adaptes" des "Protocoles des Sages de Sion", Maurice-Yvan Sicard et Henry Coston ; autant de références utiles pour en arriver à prétendre que Zemmour encourage de prochains pogroms, l'accusation d'antisémitisme étant explicite.
C'est à une autre personnalité emblématique que Benjamin Lucas, dans l'émission "Parlons vrai" sur Sud Radio (mise en ligne le 1er octobre), a pour sa part comparé "monsieur Zemmour" : "Imagine-t-on aujourd'hui donner la parole à Brasillach et en faire un commentateur de l'actualité" (2'45).
Monsieur Lucas a-t-il pensé à Brasillach parce que lui-même lui ressemble (par la forme de son visage et de ses lunettes, d'aucuns diraient par son intolérance) ?
Il est dommage que Jacques de Guillebon n'ait pu aller au bout de sa phrase de réplique. Étant "incorrect" et d'un indépendance d'esprit à toutes épreuves, prenait-il la défense de Brasillach ou de Zemmour en s'offusquant de cette comparaison ?
"d'avoir fusillé Brasillach" (entre autres), entretien avec Jean-Marie Le Pen, RTL, 26 février 2018 (5'30)
Prière de bien vouloir vous retenir d'appeler Alain Fakelkraut (à propos de Charles Maurras, expurgé du volume des Commémorations nationales 2018, dans "L'Esprit de l'escalier", émission radiophonique de RCJ-Causeur, dimanche 11 février 2018, vers 12h15 - 15ème minute d'une émission d'environ une demie heure) :
- Elisabeth Lévy : Seuls des écrivains ont été exterminationistes.
- Alain Finkielkraut : Je pense que c'était le cas de Céline, de Rebatet.
- Elisabeth Lévy : Voilà.
- Alain Finkielkraut : Et aussi de Brasillach.
- Elisabeth Lévy : Oui. Oui, oui. Des écrivains n'en étaient pas très loin, en tous les cas, mais pas Maurras.
- Alain Finkielkraut : Mais pas Maurras.
- Elisabeth Lévy : Il faut le dire.
Georges Feltin-Tracol a consacré une chronique de sept minutes à Maurice Bardèche dans l'émission de Thomas Ferrier "Le Libre journal des Européens" du mercredi 23 mai 2017 (sur Radio Courtoisie, à 21h30, entre la onzième et la dix-huitième minutes).
par Philippe Bilger, dans l'émission de Thierry Delcourt "Libre journal des amitiés françaises" (Radio Courtoisie, dimanche 19 février 2017).
Première partie du "Libre Journal d’Aude de Kerros" du 23 février 2017 sur Radio Courtoisie dans lequel elle recevait Jacques Boncompain, juriste.
Nous célébrons aujourd’hui les 62 ans de la mort de l’écrivain, journaliste et critique Robert Brasillach, fusillé par des balles françaises un 6 février 1945, date anniversaire des mouvements fascistes de 1934. Cette sentence, acquise au terme d’un procès arbitraire, s’appuie sur les cinq années d’occupation durant lesquelles l’intellectuel expose ses thèses antisémites et collaborationnistes. La veille de sa mise à mort, alors que Brasillach ne sait pas si le général de Gaulle acceptera de le gracier, il écrit la dernière page de sa carrière en rendant hommage à ses anciens camarades tombés pour l’idéal fasciste par ces lignes : « Les derniers coups de feu continuent de briller. Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres, sur onze ans de retard, serai‑je donc des vôtres ? Je pense à vous ce soir, ô morts de Février ».
Robert Brasillach est assez régulièrement cité sur Radio Courtoisie.
Deux occurrences récentes :
- "Libre journal des Lycéens", 1er octobre 2016, 55ème minute : Antoine Assaf à propos des présidents écrivains, rappelant le jugement de Brasillach sur De Gaulle ( « Il écrit comme les messageries militaires ») et ajoutant que « certains disent qu'il l'a exécuté pour cela, parce que Brasillach ne lui a pas donné l'admiration dont Malraux le flattait. »
- "Libre journal d'Henry de Lesquen", 17 octobre 2016, 2ème partie, 49ème minute, à propos de Philippe d'Hugues, pour lequel Lesquen appelait à voter au prix Jean-Ferré (parce que c'est « un écrivain remarquable, un écrivain de grande classe qui fait honneur à la langue et à la littérature française », Lesquen disant avoir été « ébloui par la qualité de sa plume, de son style, de sa pensée »
Michel Leblay a surtout mis l'accent sur son Brasillach, « un livre qui n'est pas très long, mais qui est remarquablement écrit
Tous deux rappellent que Brasillach et d'Hugues ont un point commun : ce sont des critiques de cinéma.
- "Libre journal des Belles-Lettres" (Alain Lanavère), vendredi 5 février 2016, à 18h, avec Philippe d’Hugues - Enregistrement
- "Français, mon beau souci" (Michel Mourlet), lundi 8 février 2016, à 10h45, avec Gilles de Beaupte, Philippe d’Hugues et Guillaume - Enregistrement
- "Libre journal des Traditions" (Christian Brosio), 18 février 2016, avec Philippe d’Hugues - Enregistrement
- "Libre journal d’Henry de Lesquen", lundi 22 février 2016, à 19h30 avec Philippe d’Hugues et Pascal Manuel Heu - Enregistrement