Présentation du roman de Robert Brasillach Comme le temps passe sur la page de vidéos "Des Paluches et des Bouquins" (Alexis Bauzet, 16 septembre 2020).
Présentation du roman de Robert Brasillach Comme le temps passe sur la page de vidéos "Des Paluches et des Bouquins" (Alexis Bauzet, 16 septembre 2020).
A lire sur "Intellectuels and the Media in France" ("An online exhibition from students at the University of Bristo"), « From defender to defendant : Brasillach's betrayal of the intellectual », paru le le 6 décembre 2019, qui renvoie, entre autres, au compte rendu du livre d'Alice Kaplan par Time.
Parmi les "dessins de la semaine" présentés le 26 novembre 2019 sur le site de l'association Égalité & Réconciliation :
Voir aussi : https://jeune-nation.com/culture/robert-brasillach-par-projetko-un-bon-dessin.html
et projetKO
https://vk.com/wall463082074_53843
"Une autre anecdote amusante : quand Hergé venait à Paris, il se rendait parfois chez Maurice Bardèche, le beau-frère de Robert Brasillach. Et pour ses enfants, il dessinait des personnages de sa saga.
Aujourd’hui, la famille Bardèche ne sait plus ce qu’elle a fait de ces dessins. Probablement Suzanne et Maurice les ont-ils jetés, après que les enfants les aient coloriés, ou gribouillés…"
Dans son hommage à Robert Faurisson du 25 octobre 2018, Alain Soral évoque Maurice Bardèche en ces termes :
« [...] cette chose était tout sauf un point de détail puisqu'elle était le Golgotha, elle était le coeur atomique sur lequel tourne tout le système de domination occidental et tout l'Empire mondialiste, comme l'avait compris et déjà théorisé Maurice Bardèche dans son Nuremberg [dont] je rappelle [que] je suis moi et moi seul l'éditeur et le ré-éditeur. Voilà. »
Robert Brasillach classé parmi les "valets de plume" par Michel Onfray, dans une "Lettre ouverte à Manu", à propos d'un nouveau consul.
« Le tourisme et l’imaginaire érotique à Paris durant la guerre : Français et Allemands pendant l’Occupation, 1940-1944 », par Bertram M. Gordon, revue Via, n°11-12, 2017 (mis en ligne le 14 mai 2018) :
« Peu de temps avant d’être exécuté pour avoir collaboré avec l’Allemagne nazie pendant l’occupation allemande durant la seconde guerre mondiale en France, l’écrivain français Robert Brasillach écrivait que « les Français, de quelque réflexion, durant ces années, auront plus ou moins couché avec l’Allemagne » (Brasillach dans Amouroux, IX, 243) même s’il a ajouté qu’il s’agissait pour sa part « d’une liaison avec le génie allemand » (cité dans Kaplan, 255, n. 58). Si les Allemands représentaient une vision érotique pour Brasillach, pour beaucoup d’Allemands, la France et surtout Paris, n’était rien de plus qu’une fantaisie érotique. »
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Marc Bergère, « Les épurés comme vecteurs mémoriels de l’épuration : relais et temporalités d’une mémoire marginale », Images des comportements sous l'Occupation. Mémoires, transmission, idées reçues (dir. Jacqueline Sainclivier, Pierre Laborie et Jean-Marie Guillon), Renne, Presses universitaires de Rennes, 2016, p. 203-213 ; publication sur OpenEdition Books le 26 juin 2018
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Des palais en Espagne. L'École des hautes études hispaniques et la Casa de Velázquez au cœur des relations franco-espagnoles du XXe siècle (1898-1979), par Jean-Marc Delaunay, Bibliothèque de la Casa de Velázquez, 1994, chapitre « Pour qui sonne l'exil (1936-1939) » :
« Les seuls Français à visiter la Casa, dans la "poche" de la Cité universitaire, furent les journalistes d'extrême-droite, Robert Brasillach, Pierre Cousteau et Maurice Bardèche, en juillet 1938. Brasillach, Une génération dans l'orage. Notre avant-guerre. Mémoires, Paris, 1941, p. 259 »
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Le Voyage et la danse. Figures de ville et vues de film, par Siegfried Kracauer, Philippe Despoix (éd.), Saint-Denis, Presses universitaires de Vincennes, 1996 ; publication sur OpenEdition Books le 26 juin 2018, chapitre « Jean Vigo » :
« "*[...] Un documentaire bien romantique", écrit Brasillach, dans son Histoire du cinéma, sur À propos de Nice, "*mais d’une belle cruauté, où les ridicules des dames vieilles et amoureuses, des gigolos et de la bourgeoisie décadente étaient férocement stigmatisés." De la critique consciente de l’état de choses existant, par quoi il a commencé, Vigo, obéissant à l’appel irrésistible des données matérielles, s’est de plus en plus éloigné ; il semble même vouloir dans l’Atalante sceller une attitude pour ainsi dire hostile par rapport à la conscience. L’évolution de Vigo aurait-elle été régressive ? Mais dans Zéro de conduite, la satire perce encore et peut-être ne s’est-il livré au charme des choses que pour pouvoir un jour, plus profondément et plus savamment qu’avant, continuer le travail de démystification commencé avec le film sur Nice. Il est possible que son recul ait été celui du sauteur qui prend son élan. »