Dans sa chronique de L'Express (3 avril 2019, p.86), Charles Dantzig écrit :
« Non, non, non, Aragon n'est pas le plus mauvais poète du XXe siècle ! Le titre est partagé entre Paul Eluard et Robert Brasillach. Aragon n'est que le plus hargneux. »
Dans sa chronique de L'Express (3 avril 2019, p.86), Charles Dantzig écrit :
« Non, non, non, Aragon n'est pas le plus mauvais poète du XXe siècle ! Le titre est partagé entre Paul Eluard et Robert Brasillach. Aragon n'est que le plus hargneux. »
Deux articles récents à signaler dans le quotidien Présent :
- le 5 décembre 2018 : est mentionnée la vente du cahier de philologie française de Brasillach, à Drouot ;
- le 8 mars 2018, p.10 : une page sur Brasillach, "l'absent de tout bouquet", par Marie-Victoire Velut.
P.4, "Yvan Benedetti à la question" :
- "Les écrivains que vous aimez ?"
- [...] tous les maudits qui ont fait le bon choix. Comme Bardèche qui eut le courage de se dire fasciste à une époque où on les collait au poteau."
P.33, entretien avec Michel Marmin :
- "Tu as été le condisciple, au lycée à Angers, d'Alain Corneau [...] qui était assez droitier dans sa jeunesse...
- C'est le moins qu'on puisse dire. Il m'a fait lire Brasillach et Drieu, et le journal Rivarol auquel son père était abonné. Il était aussi passionné (et batteur) de jazz. Il est ensuite devenu trotskiste en 68."
L'"Hebdomadaire de l'opposition nationale et européenne", Rivarol, a publié le 30 janvier 2019 (n°3362, p.12-13) un long entretien avec Philippe Junod, président de l'Association des amis de Robert Brasillach (ARB).
En mémoire de Robert Brasillach, Suzanne et Maurice Bardèche, une messe sera donnée à Saint-Jacques du Haut Pas (252, rue Saint-Jacques, Paris), le mardi 6 février 2019 à 10 heures, et un hommage leur sera rendu par Jeune Nation au cimetière de Charonne (119, rue de Bagnolet, Paris), le samedi 9 février 2019 à 10h30.
"ça commence avec Cromwel". Quoi donc (selon Maurice Bardèche, cité par Jean-Gilles Malliarakis) ? C'est à découvrir dans "Un goût certain pour la tyrannie", article publié dans L'Incorrect (n°15, décembre 2018, p.17).
Parmi les conseils de lecture de Thomas Morales pour 2019 figure Robert B. sept nuances de gris, de François Jonquères :
L'éditeur, dont on lira des propos plus généraux dans le magazine L'Incorrect (n°16, janvier 2019, p.16-17), ne fait pas franchement dans la nuance dans sa présentation du livre, reprenant la distinction usuelle entre un journaliste de "sinistre mémoire" et "par ailleurs un grand écrivain", sans doute pour laisser le soin à son auteur de dresser un portrait moins caricatural :
(L'Histoire, janvier 2019)
(Présent, hors série "Histoire-Actu", septembre-octobre 2018, "Pour un théâtre populiste", p.17)
Le dossier sur La Reine de Césarée annoncé ci-dessous a paru dans le numéro du quotidien Présent du 6 septembre 2018, pages 6-7.
Les Cahiers des ARB n°7 et 8 consacrés à la Reine de Césarée sont disponibles auprès de l'association.
Dans sa chronique du Figaro (2 septembre 2018), titrée "L'intellectuel, personnage indissociable de l'histoire de France", Jacques Julliard désigne "quatre grands de la trahison", en faveur du communisme, et en faveur du fascisme. Pour ce dernier : Drieu, Brasillach, Céline et Rebatet.