Alain Soral associe Léon Degrelle et Maurice Bardèche, et dit son respect pour ces fascistes, aux environs de la quarantième minute dans la quatorzième fournée de "Soral répond... sur ERFM !", mise en ligne sur E&R le 7 août 2019.
Alain Soral associe Léon Degrelle et Maurice Bardèche, et dit son respect pour ces fascistes, aux environs de la quarantième minute dans la quatorzième fournée de "Soral répond... sur ERFM !", mise en ligne sur E&R le 7 août 2019.
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Le R&N : À partir de quelles sources avez-vous réalisé ce film sur Jeanne d’Arc ?
Patrick Buisson : Essentiellement deux : Le Procès de condamnation de Jeanne d’Arc tel que Robert Brasillach l’a établi en 1932 à partir de l’édition monumentale de Pierre Champion et le travail de Jacques Trémolet de Villers qui est un commentaire pluridisciplinaire et inspiré des minutes du procès (Les Belles Lettres, 2010). Plusieurs lectures du texte de Brasillach ont été nécessaires pour aboutir au découpage scénique et cinématographique du film qui n’est évidemment qu’un condensé du procès.
(suite de l'entretien à lire sur la "gazette-en-ligne catholique" Le Rouge & le Noir, "Antichroniques du temps présent", 7 juin 2019).
- « Au-delà de leurs films, D'Hugues situe ces grands noms du 7e art dans le contexte politique de l'époque et à la lumière de quelques critiques (Tulard, Gili, Rebatet, Brasillach) » (Le Point, n°2437, 16 mai 2019, p.105)
- « [...] sa dilection pour Lucia Bose et Alida Valli nous fait passer outre ses références à des critiques qui, Gili et Jacques Lourcelles exceptés, ne font pas partie de notre univers. » (Jeune Cinéma, n°394, mai 2019, p.103).
(Le Parisien, H.S. "Histoires de Paris", n°8, "Collaboration, Résistance, vie quotidienne : Le Paris de l'Occupation", p.57, "Presse et édition : deux censures concurrentes !")
« Dans la deuxième partie de son ouvrage, Roberto Calasso convoque les grands témoins des années 30 : Curzio Malaparte, Louis-Ferdinand Céline, Robert Brasillach, Klaus Mann, Joseph Roth... pour conjurer cet âge de l'inconsistance où "seuls les sectaires s'exaltent, convaincus qu'ils tirent les ficelles des événements", et les autres s'adaptent. »
(Les Échos, 17 mai 2019, sur L'Innommable Actuel, de Roberto Calasso)
Parution d'un livre de Pierre-Frédéric Charpentier, Les Intellectuels français et la guerre d'Espagne, dans lequel est évoqué Robert Brasillach.
"Une autre anecdote amusante : quand Hergé venait à Paris, il se rendait parfois chez Maurice Bardèche, le beau-frère de Robert Brasillach. Et pour ses enfants, il dessinait des personnages de sa saga.
Aujourd’hui, la famille Bardèche ne sait plus ce qu’elle a fait de ces dessins. Probablement Suzanne et Maurice les ont-ils jetés, après que les enfants les aient coloriés, ou gribouillés…"