Dans un entretien donné au site "Nous sommes partout", Thierry Bouzard évoque l'interprétation des Poèmes de Fresnes par l'auteur-compositeur et chanteur Lo Cicero :
« Lors de sa détention, comme tous les condamnés, il a changé de prison régulièrement. A Toul, il a composé des mélodies pour les Poèmes de Fresnes de Robert Brasillach. Que pensez-vous de cette interprétation?
TB: Le souvenir du poète fusillé dont la mémoire est livrée à l’opprobre public a inspiré le jeune prisonnier mélomane. C’est la première mise en musique de ces poèmes. Il les enregistre pour la SERP à la même époque que Pierre Fresnay les récite, et pour le même éditeur. Le disque est présenté par François Brigneau, un véritable parrainage. L’interprétation est simple et émouvante. D’autant plus que l’inspiration du chansonnier vient des bâtiments, des couloirs, de la cellule même où le poète a écrit ses poèmes. Une sorte de filiation poétique et musicale semble les réunir dans un "duo du poète assassiné et du chanteur debout" ».
L'éditeur, dont on lira des propos plus généraux dans le magazine L'Incorrect(n°16, janvier 2019, p.16-17), ne fait pas franchement dans la nuance dans sa présentation du livre, reprenant la distinction usuelle entre un journaliste de "sinistre mémoire" et "par ailleurs un grand écrivain", sans doute pour laisser le soin à son auteur de dresser un portrait moins caricatural :
Dans son hommage à Robert Faurisson du 25 octobre 2018, Alain Soral évoque Maurice Bardèche en ces termes :
« [...] cette chose était tout sauf un point de détail puisqu'elle était le Golgotha, elle était le coeur atomique sur lequel tourne tout le système de domination occidental et tout l'Empire mondialiste, comme l'avait compris et déjà théorisé Maurice Bardèche dans son Nuremberg [dont] je rappelle [que] je suis moi et moi seul l'éditeur et le ré-éditeur. Voilà. »
Dans sa chronique du Figaro (2 septembre 2018), titrée "L'intellectuel, personnage indissociable de l'histoire de France", Jacques Julliard désigne "quatre grands de la trahison", en faveur du communisme, et en faveur du fascisme. Pour ce dernier : Drieu, Brasillach, Céline et Rebatet.