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2 novembre 2021 2 02 /11 /novembre /2021 15:32

Quand un responsable du Rassemblement national (Philippe Ballard) se déclare capable de citer du Brasillach à l'antenne, après avoir paraphrasé Charles Maurras : https://www.dailymotion.com/video/x856bgh (à Bistro Libertés, le 29 octobre 2021, 86ème minute), l'un des convives, Pierre Gentillet, le met ironiquement en garde : "Brasillach, vous allez loin, attention" ; l'animateur, Martial Bild, renchérissant : "vous n'allez pas rester longtemps".

On notera que Philippe Ballard mentionne aussi Céline, nom qui ne suscite pour sa part aucune réaction - parce que trop consensuel ? inoffensif en tout cas, apparemment - au demeurant, le numéro hors série de Valeurs actuelles sur les "Écrivains maudits" mentionné par Martial Bild met classiquement l'un en vedette plutôt que l'autre, ce qui peut se concevoir en matière de littérature, moins en ce qui concerne la définition qui pourrait être donnée à la notion d'"écrivains maudits").

 

Publié par ARB - dans REVUE DE LA TV
6 août 2021 5 06 /08 /août /2021 22:53

A paru dans le n°9 de Zentro Mag ("Journal d'expression non-conforme" dirigé par Xavier Eman) un article de Patrick Wagner (directeur de publication de la revue littéraire Livr'Arbitre) sur « Robert Brasillach ou l'éternelle jeunesse ».

 

 

Publié par ARB - dans REVUE DE PRESSE REVUE DE LA TV
29 décembre 2020 2 29 /12 /décembre /2020 17:47

Compte rendu audio de La Conquérante, par Jonathan Sturel, dans une émission de Radio Athéna dirigée par Adrien Abauzit le 28 septembre 2020.

Publié par ARB - dans ROMANS REVUE DE LA RADIO
20 novembre 2020 5 20 /11 /novembre /2020 12:10

A lire sur "Intellectuels and the Media in France" ("An online exhibition from students at the University of Bristo"), « From defender to defendant : Brasillach's betrayal of the intellectual », paru le le 6 décembre 2019, qui renvoie, entre autres, au compte rendu du livre d'Alice Kaplan par Time.

 

Publié par ARB - dans REVUE DU NET
7 septembre 2020 1 07 /09 /septembre /2020 14:22

Les deux volumes de souvenirs de Robert Brasillach viennent d'être réédités chez Pardès : 

- Notre avant-guerre (préface de Peter Tame ; note, notices et iconographie par David Gattegno) ;

« "On n'a pas coutume d'écrire ses Mémoires à trente ans", déclare Robert Brasillach dans son propos liminaire à Notre avant-guerre. Mais, lorsque l'on mourra cinq ans plus tard...

Rédigé pendant ses loisirs forcés des premiers mois sur la ligne Maginot - entre septembre 1939 et mai 1940 -, Notre avant-guerre est, en reprenant les mots qu'il emploiera pour Le Voleur d'étincelles, « un album d'images » d'avant la Deuxième Guerre mondiale ; il s'attache à la richesse et à la variété du Paris des années 1920 et 1930. Apparaissent dans le panorama nombre de personnalités, artistiques, littéraires et politiques, bien connues, ainsi que d'autres, qui le sont moins. Les événements majeurs sont commentés par un fin observateur, lucide, qui sait relever le trait saillant des choses. Il s'agit de l'histoire sociale, politique, voire spirituelle, d'un temps, qui, pour révolu qu'il soit, n'en paraît pas moins bien proche de notre époque, temps fertile en talents de toutes sortes, en idées et en crises. Ces mémoires constituent encore une source d'informations incomparable et incontournable pour ces temps critiques de l'histoire de la France, pour cette période qui n'a pas fini de peser son poids de conséquences sur la nôtre.

L'auteur raconte ses écoles (le lycée Louis-le-Grand et l'École normale supérieure des années 1920), son entrée dans le monde journalistique, son engagement politique (surtout à partir du 6 février 1934), ses voyages - en Belgique, en Italie, en Allemagne et en Espagne -, sur un mode pénétré de nostalgie pour ce qui est perçu comme voué à disparaître. Il admet volontiers que c'était un monde troublé, mais dans lequel lui et sa génération ont vécu ce qu'il appelle « notre jeunesse » selon « les biens les plus précieux » de cet âge : « la fantaisie, l'ironie, la bohème, l'insouciance du lendemain ». Toutes ces « images » d'avant-guerre sont évoquées dans une prose lyrique, quasi poétique, qui ne manquera pas d'enchanter le lecteur d'aujourd'hui. »

- Journal d'un homme occupé (préface de Cécile Dugas) ;

« Robert Brasillach concevait le Journal d'un homme occupé comme une suite à Notre avant-guerre. Ces deux œuvres relèvent du genre des mémoires, dans lequel excelle l'écrivain, très sensible à tout ce qui fait l'atmosphère d'une époque ou d'une année. Cependant, il existe une différence non négligeable entre les deux chroniques. Notre avant-guerre est une oeuvre achevée et revue par l'auteur lui-même, qui en vit la parution de son vivant, en 1941. Le Journal d'un homme occupé, en raison de la fin tragique de Robert Brasillach, est un ensemble de textes, tous écrits par lui, certes, mais dont le montage a été réalisé, après sa mort, selon les instructions qu'il avait laissées. Les éditions Les Sept Couleurs en assurèrent la première publication, en 1955.

Le Journal n'en est pas pour autant une oeuvre mineure. De bons juges ont vu en lui un document historique de première importance. Il regorge, en effet, de notations qui révèlent, sans tricherie ni arrangement a posteriori, l'état d'esprit et le comportement des Français, depuis la défaite et l'armistice de juin 1940 jusqu'aux mois de l'Épuration en 1944-1945.

Le Journal permet aussi de comprendre l'itinéraire politique de Robert Brasillach durant l'Occupation. Cette oeuvre éclaire, en particulier, ce qu'a représenté la captivité pour l'écrivain : non seulement une épreuve personnelle, qui l'a séparé de son propre passé, mais aussi une épreuve pour la France, déjà saignée à blanc par la Grande Guerre et de nouveau privée de milliers d'hommes retenus prisonniers. Pour faire revenir les captifs, pour lutter contre la malfaisance sans égale du communisme, dont la vision de Katyn l'a plus que jamais convaincu, Robert Brasillach en appelle à une entente entre la France et l'Allemagne et, pour l'avenir, à une Europe des nations, respectées dans leur diversité.

Et puis, en sourdine, sans ostentation mais sans ambiguïté non plus, l'écrivain laisse parler sa foi catholique, dont les Poèmes de Fresnes seront l'aboutissement, à la fois douloureux et lumineux. »

Aristide Leucate a rendu compte de ces deux volumes sur "Boulevard Voltaire", le 6 septembre 2020, ainsi que Christophe Geffroy dans La Nef (n°329, octobre 2020, p.41, « La dérive d'un jeune intellectuel »).

Comptes rendus sur Notre avant-guerre :

« Jeunesse trépidante et tentation fasciste… L’avant-guerre de Robert Brasillach », par Camille Galic, "Polemia.com", 23 septembre 2020 ;

- « "Notre avant-guerre" réédité. Histoire d'une génération d'exception », par Francis Bergeron, Présent, 5 septembre 2020, p.12 ;

- par Bernard Cattanéo, Courrier de Gironde, 2 octobre 2020, p.11 ;

- « Notre avant-guerre de Brasillach » (rendant aussi compte du Théâtre complet et de Traductions de Shakespeare), par Robert Spieler, Rivarol, n°3441, 7 octobre 2020, p.10-11 ;

- par Olivier Maulin, Valeurs actuelles, n°4382, 19 novembre 2020, p.61 ;

- « Témoin oublié », par Philippe Mesnard, Politique Magazine, n°197, décembre 2020, p.52 ;

« Nostalgie et fascisme », par Ange Appino, L'Incorrect, n°37, décembre 2020, p.78.

Compte rendu sur Journal d'un homme occupé :

« Une suite, brillante, à Notre avant-guerre », par Francis Bergeron, Présent, 24 janvier 2020 ;

- Journal de bord de Jean-Marie Le Pen, n°597, 3 décembre 2020 (à partir de 19').

 

3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 16:35

Sous son allure paisible et mémoriale, Animateurs de théâtre est une bombe à retardement : ce court essai, publié en 1936 au milieu d'un tohu-bohu politique et social, ne pouvait évidemment connaître le retentissement qu'il eût mérité ; mais aujourd'hui, nous sommes à même de mesurer la nouveauté bouleversante que Brasillach apportait sur la place publique à la compréhension des arts dramatiques. (Le cinéma aussi l'a beaucoup occupé.)

Dès le début des années 30, encore étudiant, il est le premier à avoir clairement pris conscience du rôle dévolu depuis André Antoine et Lugné-Poe au metteur en scène-thaumaturge ; puis à en avoir défini les lignes de force. Ce qui revenait à Louis Jouvet (une « poésie de l'intelligence », écrit-il notamment) dans une représentation de Molière ou de Giraudoux n'était alors évident que pour une poignée d'artisans et de théoriciens de la scène. Nous qui sommes nés dans le culte du metteur en scène et du chef d'orchestre, nous avons peine à croire que jusqu'à la fin du XIXe siècle, et souvent encore dans le premier tiers du XXe, seuls l'auteur de la pièce et ses interprètes se partageaient l'affiche avec la gloire.

Ce culte, voire ses excès, c'est à ce jeune critique fou de théâtre que nous en devons le premier témoignage. Document irremplaçable, trace d'autant plus précieuse que c'est l'unique souvenir - ô combien vivace ! -, l'unique tableau d'ensemble, réfléchi et complet, que nous possédions des travaux et des jours, et surtout des personnages : Copeau, Dullin, Jouvet, Baty, Georges et Ludmilla Pitoëff, Raymond Rouleau en ses débuts, qui ont marqué, incendié plutôt d'un feu de joie inventive, les tréteaux de cet « avant-guerre » dont Brasillach demeure à tous égards un témoin capital.

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A noter : note au texte et iconographie par David Gattegno.

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Comptes rendus :
- par Louison Tellier, Présent, 28 décembre 2019, p.10 ;
- par Robert Spieler, Présent, n°3415, 11 mars 2020 ;
- par Remi Soulié, Éléments, n°185, août-septembre 2020, p.22.

Publié par ARB - dans THÉÂTRE REVUE DES LIVRES
27 mars 2020 5 27 /03 /mars /2020 00:54

Comptes rendus de "Chronique du 7e art", recueil d'articles sur le cinéma de Robert Brasillach, paru en février 2020 aux éditions Auda Isarn, préfacé Philippe d'Hugues :

- "Brasillach, cinéphile et géant de la critique", par Francis Bergeron, Présent, 20 mars 2020 ;

- "Brasillach et le cinéma", par Robert Spieler, Rivarol, n°3417, 25 mars 2020, p.10 ;

- "Brasillach à travers le grand écran", par Rémi Tremblay, "Eurolibertes.com", 4 mai 2020 ;

- "Brasillach et Rohmer : situations critiques", par François Albéra, 1895, n°90, printemps 2020, p.247-256 + note dans la section "Vient de paraître", p.271-272 ;

- CR, par Jean Quinault, Réfléchir & Agir, n°65, printemps 2020, p.65 ;

- "Note de lecture", par Michel Ciment, Positif, n°713-714, juillet-août 2020, p.140-141.

Publié par ARB - dans CINÉMA REVUE DES LIVRES
20 mars 2020 5 20 /03 /mars /2020 16:21

Plusieurs mentions de Brasillach dans le n°64 (hiver 2020) du magazine Réfléchir & Agir :

- p.4 ("A la question : Chard", "Un poète pour vous accompagner") : "J'ai un faible pour Apollinaire. Et Brasillach (surtout quand ses poèmes sont dits par Pierre Fresnay."

- p.14 ("Scènes et Rustines du nationalisme") : disque "Poèmes de Fez" ("Enrico Macias chante Robert Brasillach")

- p.50 (tirages d'art Éric Heidenkopf)

- p.53 ("Nouveautés" des éditions Auda Isarn) : "Chronique du 7e art"

Publié par ARB - dans REVUE DE PRESSE
19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 12:20

Un recueil d'articles de Robert Brasillach sur le cinéma, Chronique du 7e art,  a paru en février 2020 aux éditions Auda Isarn, préfacé Philippe d'Hugues (272 p.).

Disponible auprès des ARB, franco de port (bon de commande ci-dessous).

Philippe d'Hugues a présenté le volume, en compagnie d'Anne Brassié, au "Libre journal du cinéma" (jeudi 12 mars 2020), émission dirigée par Pascal Manuel Heu, que l'on peut écouter et télécharger sur le site officiel de Radio Courtoisie.

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Association des  Amis de Robert Brasillach

 

Nom et Prénom …...........................................................................................................

Adresse (si changement)……………......................................................................................
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Commande de « Chronique du 7e art » :  26 € (port offert)

 

- Règlement par chèque à l’ordre de Monique DELCROIX,  à renvoyer à
M. Delcroix - Boite Postale 19  - 60240 CHAUMONT EN VEXIN

ou

-  par virement : M. Delcroix, IBAN : FR 76 3006 6109 0100 0101 5700 381

BIC : CMCIFRPP

 

Publié par ARB - dans CINÉMA ARTICLES ARB
3 mars 2020 2 03 /03 /mars /2020 12:49

Michel Mourlet, qui a préfacé l'édition du théâtre complet de Robert Brasillach chez Pardès (janvier 2020), lui a consacré son émission "Français, mon beau souci" du 2 mars 2020 (Radio Courtoisie) : "La langue théâtrale de Robert Brasillach", avec Marc Favre d’Echallens (administrateur de Défense de la Langue Française), Robert Kopp (écrivain, éditeur), Bernard Lefebvre (comédien, metteur en scène) et Hélène Robin (comédienne).

Ce volume a par ailleurs fait l'objet d'un compte rendu, signé Louison Tellier, dans le quotidien Présent (8 février 2020, p.7, "Brasillach dramaturge"), d'un autre, signé Robert Spieler, dans l'hebdomadaire Rivarol (11 mars 2020, p.11), et d'un troisième, signé Rémi Soulié, dans le bimestriel Éléments (n°185, août-septembre 2020, p.22).

Michel Mourlet est revenu sur sa préface à ce volume, ainsi que sur celle d'Animateurs de théâtre, dans son "journal critique", publié dans le n°59 (1er trimestre 2020, p.193-195) de La Nouvelle Revue Universelle.

Publié par ARB - dans THÉÂTRE