Dimanche 10 février, aux alentours de 4h du matin, la salle où devait se tenir le XVeme Forum de la Nation a été partiellement détruite par un incendie. Cette salle, qui constitue l’outil de travail de leurs propriétaires sans engagement politique, est devenue inutilisable pour de longues semaines. Toutes nos pensées vont d’abord vers ces honnêtes gens qui avaient refusé de céder aux menaces dont ils ont fait l’objet dès que la tenue du Forum a été rendue publique.

La mafia judiciaire et politique exerce à notre encontre un acharnement qui semble avoir désormais valeur d’exemple. Ceux qui ont allumé la mèche sont à rechercher à la Licra en la personne de M. Jakubowicz son Président, de M. Khan son porte-parole à Lyon, ainsi que de M. Creus, président du collectif 69 et conseiller régional du front de gauche. La Licra, qui défend les intérêts d’Israël, pays étranger, avait demandé l’interdiction de la tenue du Forum de la Nation, s’octroyant la prérogative de décider qui, dans notre propre pays, a le droit de se réunir, de s’exprimer. Tous ces parasites se nourrissent de notre existence, vivent à nos crochets et ne se déterminent qu’en fonction de ce que nous sommes, de ce que nous faisons. Ils sont en cela largement relayés par la chaîne de télévision Lyon Métropole. Celle-ci avait annoncé en toute partialité la tenue de notre réunion au sujet de laquelle se sont exprimés les porte parole de l’anti-France, ignorant les véritables concernés…nous. Ils ont clairement désigné la cible aux incendiaires en filmant la salle, non sans arrière pensée.

Cette affaire est révélatrice d’un système bien huilé et relayé à tous les niveaux, utilisant des méthodes soviétiques, ignorant que le système a connu ses limites, son échec, son effondrement, alors que la France est toujours debout.

A ceux qui ont allumé ce feu, sachez qu’il n’a pas qu’incendié les murs, il a enflammé plus que jamais nos cœurs, nos âmes, qui brûlent d’un dessein que rien ne saurait tarir si ce n’est la victoire. Parce que nous voulons, nous vaincrons ! Chaque coup nous rend plus forts, chaque étincelle nous rend plus ardents, inaccessibles au découragement car nous avons un idéal bien plus fort, bien plus haut que notre confort, que nos aises, que nos joies, que nous-mêmes, nous avons un idéal qui nous dépasse, un idéal irrévocable, un idéal, un objectif qui s’appelle France. Nous sommes forts car nous sommes des hommes libres, des hommes fiers. Du fond de sa cellule, ou les mains liées à l’échafaud, Robert Brasillach jouissait d’une liberté que ne connaîtront jamais les bobos de la presse-pensée, dont la transgression morale est la seule à laquelle ils savent s’adonner.

Parce que nous ne sommes pas des politicards mais simplement des Français, désireux de le rester, il n’est pas de limite à notre action.

Parce que nous ne sommes pas des idéologues mais simplement des hommes de convictions, nous sommes et resterons les derniers défenseurs de la liberté d’expression, quoiqu’il en coûte, et nul ne nous fera taire.

C’est pour cela que le Forum de la Nation se tiendra samedi 16 février comme prévu.

YVAN BENEDETTI